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4 points d’attention avant de suivre une formation en ligne

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Désir d’évolution professionnelle au sein de son entreprise, envie de reconversion, souhait d’acquérir de nouvelles compétences pour étoffer son profil et son parcours, simple curiosité… Les raisons ne manquent pas de vouloir suivre une formation professionnelle en ligne. Mais si l’apprentissage à distance a de sérieux atouts en comparaison avec les formations traditionnelles, il est cependant quelques points sur lesquels les apprenants doivent être particulièrement attentif. Il en va du succès de leur cursus à distance. Vous envisagez de suivre une formation en ligne ? Suivez le guide, on vous en dit plus sur ces quelques aspects auxquels vous devrez faire attention pour atteindre vos objectifs.

 

La formation à distance, un mode d’apprentissage aux nombreux avantages…

Si existe aujourd’hui un grand nombre d’acteurs de la formation en ligne, à l’instar du CNED et du CNFDI pour les plus connus, ou encore de All-In Formation, nouveau venu dans le secteur, c’est bel et bien parce qu’il existe un marché toujours en croissance. De fait, de nombreux actifs souhaitent engager une formation professionnelle pour développer leur potentiel d’évolution dans leur entreprise ou développer leur potentiel d’employabilité sur le marché du travail. Cet essor est notamment dû aux avantages de ce mode d’apprentissage :

  • Un large choix de formations, ne se limitant plus aux écoles et centres proches de chez soi ;
  • Une grande autonomie et une grande liberté dans l’organisation des temps d’apprentissage, permettant une adéquation avec les contraintes de la vie professionnelle ou de la vie personnelle ;
  • Une dimension pratique incomparable, puisqu’il suffit d’un PC, d’une connexion internet et d’un coin de table pour suivre les cours en ligne ;

Pourtant malgré ces quelques avantages, la formation en ligne n’est en rien un parcours de santé, et malgré la simplicité et la flexibilité de la démarche, les cas d’abandon ou d’échec ne sont pas rares. Il est donc important de se mettre dans les meilleures dispositions.

Mettez toutes les chances de votre côté pour réussir votre formation en ligne

En raison de la simplicité apparente des formations professionnelles à distance, dans l’organisation en tous les cas, certains apprenants peuvent avoir tendance à prendre les choses à la légère et à misez sur une organisation au jour le jour. Pourtant, l’organisation est bien la clé du succès d’un plan de formation :

1 – Une autodiscipline indispensable

Dans les avantages relatifs aux formations en ligne, nous évoquions plus haut la flexibilité et l’autonomie. Mais attention, les apprentissages ne doivent pourtant par laisser place à l’improvisation.
Il est essentiel de définir une organisation stricte, en définissant des créneaux horaires dédiés aux suivis et à la révision des cours, à la réalisation des travaux et à leur restitution, et de tenir à ce planning.

2 – Une motivation à entretenir

Un problème majeur pour les apprenants en formation à distance est la motivation, ou plutôt l’entretien de cette motivation. Les élèves sont souvent « à bloc » en début de parcours, mais l’envie peut avoir tendance à s’étioler.
Pour conserver et entretenir cette motivation la rigueur et l’autodiscipline évoqué juste au-dessus sont essentiels. Il faut également être entouré et conserver des interactions sociales pour ne pas sombrer dans le « tout formation ». Il faut enfin de fixer des objectifs précis pour pouvoir suivre ses progrès. Bien entendu, les formateurs sont des acteurs clés de la motivation de leurs étudiants.

3 – Des interactions sociales moindre

Sans surprise, toute personne suivant une formation à distance peut voir ses interactions sociales ralentir, ne serait-ce que par le temps indispensable à la formation elle-même, mais aussi parce qu’Internet n’est pas le meilleur moyen d’interagir avec les formateurs et les autres apprenants en comparaison à une formation en présentiel.
Du côté personnel, conservez des temps dédiés à retrouver votre famille et vos amis qui seront de véritables soutiens de vos ambitions. Du côté formation, n’hésitez pas à entrer en contact avec les autres apprenants, à organiser des sessions de travail et de révision en commun, même à distance, et peut-être même à vous réunir avec d’autres étudiants si certains sont dans la même zone géographique afin de retrouver une dynamique de groupe.

4 – Un espace de travail et des outils dédiés

Si nous disions plus haut qu’un simple coin de bureau pouvait suffire à suivre une visioconférence ou un webinar, dans les faits le suivi d’une formation en ligne demande un minimum de logistique et d’organisation, notamment lorsque l’on est en couple ou que l’on a des enfants. Afin de vous mettre dans les meilleures dispositions pour intégrer de nouveaux savoir et de nouvelles compétences, il est important de se créer une ambiance et un espace de travail optimaux.
Si possible, trouver un coin de votre maison ou de votre appartement au calme, loin des tumultes de la vie dans voter habitat afin de ne pas être dérangés par le bruit. Si vous avez un bureau cela est encore mieux. Organisez un espace de travail sur une table avec l’ensemble du matériel nécessaire : ordinateur, connexion internet, papier, crayon… Assurez-vous enfin que ces outils seront disponibles. Si vous suivez une visioconférence, vous aurez besoin d’une connexion de qualité. Votre conjoint ou vos enfants devront donc se passer de Netflix. Si vous utilisez l’ordinateur de la famille, celui-ci devra être disponible chaque fois que vous aurez besoin pour travailler. Assurez-vous d’avoir tout le confort pour favoriser votre confort (thé/café, en-cas…) et votre concentration.

Avant de suivre un cours en ligne, il y a quelques points à considérer. Autodiscipline, motivation, manque d’interaction social, création d’un espace de travail dédié sont autant d’aspect à envisager. Si vous pensez que vous ne pourrez répondre à l’un ou l’autre de ces points, la formation professionnelle à distance n’est peut-être pas faite pour vous.

En quoi consiste le métier d’un expert en assurance ?

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Le métier d’expert en assurance est devenu accessible à tous via des formations professionnelles. Évolutif, il séduit pas mal de jeunes diplômés. Parmi les raisons qui les encouragent à suivre un tel rêve, il y a notamment la rémunération. Bien entendu, on va en parler dans cet article. Zoom sur le métier d’un expert en assurance !

Zoom sur les missions d’un expert en assurance

Il faut savoir que le salaire moyen d’un expert en assurance avoisine les 40 000 € bruts par an. Plus précisément, le taux horaire passe de 11,21 € en début de carrière à 30,22 € en fin de carrière. Visiblement, c’est un métier rémunérateur. Il faut néanmoins noter que les missions d’un expert en assurance ne sont pas aisées. Au contraire, elles sont chronophages. Il y en a plusieurs. L’expert en assurance joue le rôle d’accompagnement dans la signature de contrat. Il intervient également en cas de sinistre (catastrophe naturelle, accident, incendie, etc. ). En effet, c’est lui qui est chargé de l’évaluation des dommages matériels constatés. Idem pour le montant du préjudice moral subi par la victime (une personne ou une entreprise).

Le travail d’un expert en assurance est loin d’être une partie de plaisir. Il est souvent confronté à des situations contraignantes. Il doit à la fois définir les causes du sinistre et estimer le montant des dommages. D’autre part, l’expert en assurance est chargé d’inspecter une éventuelle présence de malfaçon ou d’anomalie. En fonction du résultat de son enquête, il rédige un rapport d’expertise bien détaillé. Les termes utilisés sont purement techniques. Malgré la difficulté du métier, cela ne doit pas empêcher une personne de faire une reconversion d’expert en assurance. C’est un choix judicieux permettant d’accéder à un métier évolutif et rémunérateur.

Quelles sont les qualités requises pour le métier d’un expert en assurance ?

Les formations pour accéder au métier d’expert en assurance sont multiples. En général, un niveau Bac+2 suffit. On parle ici d’un BTS assurance ou d’un DEUST. Les plus ambitieux visent toujours plus haut, et décrochent un Bac+3, voire un Bac+5. Par exemple, pour devenir courtier en assurance, il ne faut pas se contenter d’une licence professionnelle. Elle doit être complétée par des masters professionnels dans le domaine de l’assurance. Les recruteurs privilégient souvent les titulaires d’un DSCG (Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion. Aussi, un diplôme d’école de commerce constitue un atout supplémentaire. En plus des formations, il y a un certain nombre de qualités requises.

En suivant des formations intensives, un expert en assurance évoluera vite. En effet, il peut accéder au métier de courtier en assurance. Des évolutions de carrière très profitables. Non seulement, son salaire sera décuplé, mais on acquiert de nouvelles compétences. Parmi les qualités requises, il y a la diplomatie. Il doit effectuer son travail selon les règles du métier. Un bon expert en assurance dispose d’un sens d’observateur ainsi que d’une capacité d’analyse hors norme. Les évaluations sont réalisées efficacement dans les délais. Dans le cadre de la signature d’un contrat, l’expert en assurance va conseiller les clients un peu perdus. À noter qu’il bénéficie d’une protection sociale tout comme les autres salariés en entreprise.

Tout savoir sur Google Tag Manager

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Lorsque vous créerez un site web, il faudra penser à l’enrichir avec du contenu de qualité. Mais comme il s’agit d’une plateforme dématérialisée, vous devrez aussi avoir des connaissances en codage. Heureusement, il existe des outils qui vous faciliteront la tâche. Google Tag Manager en fait partie. Grâce à cet outil, vous ne serez plus obligé d’être expert en codage informatique. Que faut-il savoir exactement sur ce programme ?

Pourquoi utiliser Google Tag Manager ?

Selon Google, Tag Manager se présente comme un système de gestion de balises, destiné notamment à une agence seo. Ce service offre une interface permettant de créer et de suivre toutes les balises dont votre site a besoin. C’est une fonctionnalité très intéressante en SEO.

La gestion des balises offre trois avantages principaux :

  • Le travail des développeurs sera allégé : vous n’aurez plus à consacrer du temps au codage manuel de vos balises ;
  • Le codage sera plus précis : les balises codées par un être humain peuvent être sujettes à des erreurs. Ici, le processus est automatisé. Votre référencement naturel en sera alors de qualité ;
  • Le suivi des actions marketing sera facilité : l’interface de Tag Manager facilite le contrôle et le suivi des balises. Cela signifie que vous pouvez créer et utiliser davantage de balises en rapport direct avec vos objectifs marketing.

Comment configurer un compte Google Tag Manager ?

Pour utiliser Google Tag Manager (GTM), vous devrez évidemment créer un compte. Toutefois, vous ne pourrez pas immédiatement vous connecter via un compte Google existant. Ici, il faudra vous rendre sur le site de GTM et cliquer sur un des boutons « Créer un compte ».

Après avoir saisi votre nom de compte, vous aurez à choisir un « nom de conteneur ». Pour information, un conteneur est un morceau à ajouter à vos pages web pour que GTM fonctionne. Ce dernier doit être le nom du ou des sites sur lesquels vous allez intégrer le conteneur. Par la suite, choisissez la plateforme appropriée dans le menu et de cliquer sur « Créer ».

Vous verrez ensuite deux fenêtres contextuelles. La première concerne les conditions d’utilisation de Google, que vous devrez accepter. La suivante affiche tous les détails de l’extrait de conteneur à ajouter à vos pages web.

L’extrait de conteneur se compose de deux parties. La première partie de code utilise des informations d’extraction JavaScript. Le deuxième extrait est un iframe HTML.

L’élément HTML iframe du conteneur n’intervient que dans des circonstances spécifiques. C’est dans le cas où un visiteur du site a désactivé JavaScript. En fait, l’intégration de cet extrait permettra de s’assurer que les balises sont activées, même sans JavaScript.

Les éléments à connaître dans GTM

Chaque plateforme d’analyse a son vocabulaire. GTM utilise principalement trois éléments que vous devrez comprendre. Chacune d’entre elles constitue un élément vital de Tag Manager et possède une section dans l’interface.

Les balises

Comme mentionné plus haut, les balises sont utilisées par les plateformes d’analyse et de marketing pour s’intégrer aux sites et aux applications. Google Analytics, par exemple, utilise des balises pour l’aider à collecter des données sur les utilisateurs de différents sites.

Point important : ces balises sont différentes de ceux utilisés par les développeurs web. En effet, ces derniers utilisent des balises standards HTML pour coder des pages web. De son côté, Tag Manager supporte nativement de nombreuses configurations de balises. Si vous le souhaitez, vous pourrez même créer vos propres balises.

Les déclencheurs

Les balises du code d’un site internet se déclenchent en fonction d’un événement spécifique. Les déclencheurs prêtent attention à votre site ou à votre application. Les événements concernent notamment : les consultations de pages, les soumissions de formulaires et les clics de liens.

Lorsque vous créez une nouvelle balise dans GTM, vous devez notamment configurer son déclencheur. En outre, vous pourrez appliquer des filtres à un déclencheur. Ils permettront de préciser les moments où ils se déclenchent ou où ils ne se déclenchent pas.

Les variables

Les variables dans GTM concernent à la fois les balises et les déclencheurs. Elles aident à définir précisément ce que la balise ou le déclencheur est censé faire.

Dans le cas des déclencheurs, les variables indiquent quand le déclencheur doit demander à sa balise de se déclencher. En ce qui concerne les balises, leurs variables définissent les données exactes que la balise doit collecter. Tag Manager comprend un large éventail de variables intégrées. Elles couvrent la plupart de vos besoins de base en la matière.

Vous pouvez également créer des variables. Ceux-ci répondront à vos besoins spécifiques si les variables intégrées ne le font pas.

 

Vous savez maintenant tout ce qu’il y a à connaître sur Google Tag Manager. Il vous reste à vous rendre sur son site officiel afin de l’essayer. Avec GTM, l’optimisation de votre contenu sur Google devrait se faire sans gros problèmes.

Comment devenir un conseiller en ressources humaines ?

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Si vous désirez travailler en tant que conseiller en ressources humaines, vous devez au préalable vous renseigner sur ce métier.

Dans cet article, vous découvrirez toutes les informations nécessaires à propos de ce métier.

Un conseiller en ressources humaines, qu’est-ce que c’est ?

Le rôle d’un conseiller en ressources humaines est d’établir de bonnes relations de travail entre les dirigeants et le personnel d’une même entreprise. Il veille aussi à améliorer la qualité de vie des employés et s’occupe en partie de l’organisation. Les conseillers en ressources humaines sont des professionnels qui créent et qui appliquent les politiques et les processus en matière de ressources humaines tels que le recrutement, l’évaluation de rendement ou les demandes de congés. Le domaine des ressources humaines vous intéresse ? Alors visitez ce site pour en savoir plus. 

Quelles sont les missions principales d’un conseiller en ressources humaines ?

Ces missions sont variées, il s’occupe soit des stratégies en matière de ressources humaines ou des relations de travail. Il applique aussi les politiques, les programmes et les procédures touchant au personnel et aux gestionnaires à qui il fournit des renseignements et donne des conseils en matière de ressources humaines. Ce professionnel est parfois responsable de la négociation de la convention collective et il peut agir comme médiateur en cas de conflits de travail.

Quelles sont les qualités essentielles d’un conseiller en ressources humaines ?

Il doit posséder un grand sens de l’écoute et avoir la capacité de s’adapter à toutes les situations. Au niveau de ces compétences, ce professionnel doit absolument avoir :

  • Une excellente connaissance du fonctionnement d’une entreprise
  • Un esprit d’analyse, de synthèse et d’anticipation
  • Une aisance relationnelle et rédactionnelle
  • Une très bonne organisation

Les formations requises afin d’accéder à ce métier

Pour exercer cet emploi, les futurs conseillers en ressources humaines doivent absolument posséder :

  • Un diplôme d’études universitaires dans un domaine qui concerne la gestion des ressources humaines.
  • Une formation en ressources humaines acquise en milieu de travail (alternance).

Dans certains cas, le titre de conseiller en ressources humaines agréé (CRHA) est parfois exigé par certaines entreprises. Avant de débuter l’une de ces formations, il est primordial de posséder le Bac.

Si vous souhaitez accéder à un poste de directeur des ressources humaines, de gestionnaire de carrière ou même d’outplacer, un niveau Bac +5 est indispensable. Il est préférable d’avoir un master en ressources humaines, en sciences du management, en droit du travail, en droit social, mais aussi en psychologie.

En outre, il existe 4 métiers en tant que conseiller en ressources humaines, les voici :

  • Assistant recrutement
  • Responsable formation
  • Responsable recrutement
  • Responsable relations sociales

Les évolutions professionnelles d’un conseiller en ressources humaines

Si vous possédez une expérience professionnelle suffisante, cela vous permet d’accéder à des postes de gestion. Un conseiller expérimenté pourra même offrir ses services à titre de consultant et posséder sa propre firme de ressources humaines.

Au cours de votre carrière, il vous sera aussi possible d’avoir un poste de responsable de projet voire de directeur en ressources humaines.

Le salaire d’un conseiller en ressources humaines

Le salaire d’un conseiller en ressources humaines varie entre 2 000 et 2 500 euros bruts par mois.

Formation en entreprise : pourquoi opter pour l’externalisation ?

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Pour une entreprise, il est essentiel de mettre à jour les connaissances de ses employés. En effet, le monde professionnel évolue constamment, surtout qu’une société a recours à la technologie. Toutefois, une formation est toujours nécessaire. Le fait d’externaliser ses formations permet de garantir leur efficacité.

Les bénéfices d’une formation professionnelle

Une formation est, avant tout, l’occasion pour les salariés d’apprendre de nouvelles choses. Mais il faut souligner qu’elle est bénéfique également pour l’employeur. En outre, pour l’entreprise, la formation permet de fidéliser les employés. En effet, en connaissant davantage leur métier, les travailleurs sont plus motivés. Ce qui impacte de manière positive sur leur productivité. Former le personnel est aussi un moyen de rester dans la compétition. Entre autres, en garantissant aux travailleurs, une parfaite maîtrise de la technologie. Cela permet également de faire partie des meilleurs sur le marché. Les candidats sont plus attirés par les entreprises qui proposent des formations.

Les salariés tirent avantage des formations. Pour commencer, cela leur permet de gagner en compétences. Ce qui peut les aider à être plus autonomes dans leur travail. Les formations contribuent également à la progression professionnelle. Que ce soit au sein de la même société ou dans une autre. Un travailleur est conscient qu’une formation lui permettra d’augmenter ses qualifications. Ce qui est très utile pour sa carrière professionnelle. Une formation peut aussi aider un travailleur à faciliter sa reconversion professionnelle. Sans oublier que cela aide à être plus responsable dans l’entreprise. Ce qui peut impacter de manière positive sur sa notation. Pour prodiguer des formations à ses salariés, une société a le choix entre différentes méthodes d’externalisation. Il est possible d’avoir plus de détails sur klip-formation.fr.

Focus sur les avantages de l’externalisation de formation

L’externalisation de formation apporte de multiples avantages aux entreprises. Avant tout, cela permet de diminuer les coûts de la formation. En effet, s’occuper soi-même de la formation de ses salariés demande, non seulement du temps, mais aussi des moyens. Ce qui risque de coûter plus cher que l’externalisation. Lorsqu’il s’agit d’externalisation, il est possible de faire appel à un expert dans un domaine particulier. Effectivement, il existe des entreprises qui proposent le portage de formation à des formateurs professionnels.

Cette méthode permet de simplifier les démarches. Pas seulement pour le formateur, mais également pour l’entreprise. En effet, cette dernière peut choisir parmi différentes prestations. En fonction de cela, la société porteuse mettra à sa disposition le professionnel adéquat pour prodiguer la formation. Les experts proposés ont recours à des méthodes adaptées pour garantir l’efficacité des formations. C’est le cas, entre autres, d’une page extranet. Cette dernière inclut des programmes, des pré-quizz, des évaluations ou encore des modalités d’organisation. De plus, l’entreprise se charge de la gestion administrative pour que l’expert puisse se consacrer totalement à la formation. Cela constitue, de ce fait, un avantage pour les formés, la société bénéficiaire ainsi que le professionnel qui souhaite vendre des formations.

Quelles études supérieures pour créer des sites internet ?

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Devenir créateur de sites internet est un métier qui attire un bon nombre de jeunes. Avec l’évolution des nouvelles technologies et leur accès de plus en plus facile tous les jours, il n’est pas étonnant que les sites web fascinent le public. En créer est à la portée de tous ceux qui sont prêts à s’investir dans un tel projet. Il faudra entre autres commencer par se former et suivre les études nécessaires pour devenir un concepteur professionnel de site internet. 

Les formations nécessaires pour devenir concepteur web

Suivre une formation dans le but d’exercer un métier est le chemin le plus sûr pour devenir un véritable professionnel dans le domaine choisi. Il est absolument déconseillé aux porteurs de projet, de se contenter d’un apprentissage en autodidacte. Cela peut être un plus pour le principal concerné dans le sens où s’autoformer est un entraînement adéquat pour acquérir de la discipline et de la persévérance. Toutefois, il ne faut pas oublier que peu importe le sujet d’étude choisi, il existe des normes et aussi des tendances que seuls les professionnels dans le secteur maîtrisent. Un formateur qualifié est le seul qui pourra prodiguer un enseignement complet sur le domaine donné. Il est possible d’obtenir plus d’information à ce sujet en naviguant sur la toile.

Devenir concepteur de site internet est un projet dont la concrétisation est plus ou moins accessible. Avoir une solide motivation est une chose importante. Cependant, ce ne sera pas suffisant. Outre le fait de mobiliser les moyens financiers nécessaires pour effectuer les études supérieures relatives au métier, il est essentiel de connaître le parcours à réaliser. Les personnes désirant faire de la création de sites internet une activité professionnelle, rémunératrice, peuvent choisir entre plusieurs cursus :

Choix n°1 : une formation bac+3

Après avoir obtenu le bac, le porteur de projet peut suivre 3 années d’études supérieures. Ces dernières se solderont successivement par l’obtention des diplômes suivants : Bachelor Métiers de l’internet, Bachelor Webdesign et Licence Pro Internet.

Choix n°2 : une formation bac+4/bac+5

Pour une spécialisation renforcée dans le métier de conception de sites internet, il est possible aux étudiants de réaliser un parcours d’études supérieures de 4 à 5 années après le bac. Ils pourront ainsi bénéficier d’un Master Internet et Webdesign.  

Où faire des études supérieures en conception de site internet ?

Choisir de faire des études supérieures pour accéder au métier de concepteur de site internet demande de la motivation et aussi de l’organisation. Il est notamment important de bien choisir l’établissement où la formation se déroulera. Accorder une attention particulière dans la sélection parmi les établissements potentiels n’est pas qu’une option. Quelques critères sont à retenir dans cette étape : 

  • la nature de la formation : s’agit-il d’une formation en ligne ou en présentiel ?
  • Les tarifs proposés par l’établissement : le prix de la formation est-il correct ou non ? Est-ce que les tarifs correspondent aux moyens de l’étudiant ?
  • La délivrance d’un certificat de fin d’études : ce document est essentiel pour exercer le métier de concepteur professionnel de site internet. Il est souvent demandé par les recruteurs lors d’une offre d’emploi. 

 

Comment devenir community manager en freelance ?

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Quels sont les conseils pour devenir community manager freelance ? Comment faire pour être community freelance ? Quel est le rôle d’un community manager ? Qu’il s’agisse des études pour devenir CM ou encore des missions, nous allons voir ensemble tout ce qu’il faut retenir pour devenir community manager freelance.

Le métier de community manager freelance a vu le jour avec l’avènement d’internet. Il s’agit d’un métier au cœur de la communication digitale. Être community manager freelance exige des compétences multiples et s’adapte à des profils variés.  De plus, un community manager se doit de créer son entreprise pour exercer son activité.

Pour tout savoir sur comment devenir community manager en freelance, c’est par ici !

Quel est le rôle d’un community manager ?

Le community manager a pour rôle de développer et gérer la présence d’une organisation (entreprise, association, administration…) sur internet. 

Il peut utiliser les réseaux sociaux (Twitter, Instagram, Facebook…) et professionnels (LinkedIn, Xing, Indeed…), les blogs, et les forums. Il réfléchit à publier des contenus pertinents (images, articles, jeux concours…) afin de diffuser les valeurs de l’organisation. Toute la stratégie de communication repose sur lui. 

De ce fait, le community manager doit avoir une bonne connaissance des règles du référencement SMO (Social Media Optimization) et des principes de marketing. Aussi, il doit maîtriser les différents réseaux sociaux et leurs outils. 

Le métier de community manager peut s’exercer en entreprise, en agence de webmarketing ou en freelance.  

Pourquoi choisir une carrière de community manager en freelance ?

Choisir de devenir community manager en freelance offre de nombreux avantages

  1. Être son propre patron 
  2. Possibilité de choisir ses clients et missions
  3. Flexibilité des horaires de travail
  4. Télétravail
  5. Autonomie
  6. Bonne rémunération
  7. Développement de son réseau professionnel

En règle générale, un community manager qui souhaite se lancer en freelance est à la recherche de la liberté. Elle représente la première source de motivation pour faire le saut vers le travail indépendant. Cependant, cette indépendance a une contrepartie qui va de l’administration, la comptabilité, jusqu’à la juridiction. 

En effet, il est obligatoire de créer une société afin de pouvoir exercer son activité. Notez qu’il est possible de créer un logo gratuitement pour sa société sur internet en quelques minutes sans besoin d’être graphiste. 

Quelles études pour être community manager freelance ? 

Etre community manager freelance

 

Le community manager fait partie des nouveaux métiers du web et du marketing digital. Il n’existe pas de formation particulière pour exercer cette profession. D’ordinaire, un community manager a un niveau bac +2 jusqu’à bac +5 dans l’un des domaines suivants : communication digitale, marketing digital, ou multimédia.

À noter qu’un bac +3 ou bac +5 avec une spécialisation en communication digitale est fréquemment exigé par les organisations. 

Toutefois, il est tout à fait possible d’être community manager sans diplôme, c’est-à-dire d’être autodidacte.

Pour rappel, pour se lancer en tant que community manager freelance, il est conseillé de choisir un statut juridique adapté.

Quel est le salaire d’un community manager en freelance ? 

En freelance, on ne parle pas de salaire, mais de chiffre d’affaires et de revenus. La rémunération d’un community manager freelance dépend principalement des tarifs qu’il applique. Ces tarifs dépendent de la taille de la communauté et des responsabilités prises en charge.

Il facture ses missions à la journée ou au forfait. En moyenne, il demande entre 200 et 400 euros la journée. 

Il faut bien comprendre qu’un community manager freelance ne dispose pas de tous les avantages d’un salarié (cotisations, chômage, congés payés…) et qu’il doit les payer les cotisations sociales. 

Comment trouver des clients pour devenir community manager en freelance ? 

Si vous vous lancez en tant que community manager en freelance, il est important de savoir que vos compétences seules ne suffisent pas. Vous devez être apte à démontrer votre expertise afin de décrocher des missions. 

Pour trouver des clients, vous pouvez vous inscrire sur une plateforme de freelancing. Ce moyen permet de trouver facilement des projets et de monter en compétences rapidement. Aussi, vous pouvez créer un site internet pour promouvoir votre activité de freelance. 

Enfin, vous avez la possibilité d’établir une stratégie de prospection pour développer et entretenir votre réseau professionnel.  

Pour conclure, il est important de rappeler qu’il est important de soigner son image de marque en tant que community manager en freelance au même titre qu’un consultant indépendant.

Se former aux médecines alternatives

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Vous êtes à la recherche d’une reconversion professionnelle dans le domaine du bien-être ? Il n’y a pas de restriction d’âge en matière de médecine alternative. La seule façon d’atteindre votre objectif est de vous former, d’apprendre, de pratiquer et de continuer à vous former.

Chaque jour est une nouvelle opportunité d’apprentissage en médecine alternative. L’objectif est de découvrir la formation idéale. Continuez à lire pour en savoir plus sur certaines des professions les plus courantes en médecine alternative.

Quels sont les différents métiers ?


Magnétiseur

Le magnétiseur est un praticien de la thérapie énergétique qui pratique le magnétisme. Il envoie de l’énergie magnétique pour rétablir l’harmonie, en équilibrant le corps, l’âme et l’esprit. Chaque être vivant possède en lui une forme de magnétisme sans le savoir ou sans comprendre comment l’utiliser. La personne qui a pris conscience de son propre pouvoir magnétique, qui en a acquis l’expérience et qui a été formée aux thérapies énergétiques pour le comprendre et l’utiliser est connue sous le nom de magnétiseur. Il dispose d’une condition physique, mais il possède aussi une sensibilité qui lui permet de développer « un talent » que certains qualifient de « don ». « La technique est différente d’un guérisseur à l’autre, car il s’agit de sentir l’énergie de ses mains se réchauffer et vibrer en soi. 

Dans le passé, la plupart des personnes qui voulaient devenir magnétiseurs par vocation ont choisi cette carrière. Cependant, avec des institutions et des formations particulières, vous pouvez maintenant apprendre à exercer ce métier. Il est également important d’avoir certaines qualités afin d’accomplir cette tâche.


Aromathérapeute

L’aromathérapeute est un spécialiste de l’utilisation des huiles végétales extraites à l’aide d’huiles essentielles. Il comprend les bienfaits pour la santé et les caractéristiques des huiles essentielles. Il est possible qu’un novice se perde parmi les nombreuses formes d’huiles essentielles de lavande ou d’eucalyptus. Ce professionnel de l’aromathérapie aide les clients à sélectionner les huiles et les combinaisons idéales pour leur état de santé. Il a également de solides connaissances en biochimie et en physiologie humaine. En outre, il enseigne à ses clients comment utiliser les huiles essentielles en toute sécurité et comment les diluer dans l’huile végétale appropriée. Les huiles essentielles sont très concentrées, avec des effets significatifs à des doses modérées. Si certaines huiles essentielles, comme celles d’origan, de ciste ou de sarriette, sont utilisées au-delà de leurs quantités recommandées, elles peuvent devenir toxiques. Une autre considération est la technique d’utilisation, qui varie en fonction des huiles essentielles. Comme toutes les huiles essentielles ne se dispersent pas de la même manière, certaines ne sont pas conseillées pour la diffusion alors que d’autres sont appliquées par voie topique, par exemple.

Afin de devenir aromathérapeute, Il est indispensable d’acquérir une formation d’herboriste ou de s’initier dans les huiles essentielles. Pour pouvoir pratiquer l’aromathérapie et traiter les patients, vous devez d’abord obtenir un diplôme en médecine.


Naturopathe

Pour commencer, nous devons préciser que le naturopathe n’est pas un médecin. Il est plutôt un conseiller pour ceux qui lui rendent régulièrement visite. L’objectif est que les personnes apprennent à préserver leur santé afin d’avoir une meilleure qualité de vie. Son travail complète la médecine conventionnelle dans le domaine des soins préventifs.

Le naturopathe est fondé sur l’idée que la santé globale d’une personne doit être prise en compte. Il accompagne chaque individu dans sa recherche d’équilibre et de retour à la source d’une maladie. Il utilise également des méthodes naturelles comme la méditation, la respiration, la phytothérapie, l’hydrologie, etc.

Le naturopathe travaille dans une clinique ou dans un établissement naturopathique. Ils sont également recherchés par les entreprises, notamment dans le domaine de la gestion du stress. On peut les trouver dans les magasins de produits naturels pour aider les consommateurs à choisir leurs produits. Enfin, on peut les trouver travaillant dans des installations sportives, des centres de thalassothérapie et divers autres lieux de thérapie aquatique.

Si vous aimez écouter les autres et que vous vous intéressez à votre propre santé, vous pouvez devenir naturopathe. En France, par exemple, il existe un programme de formation ouvert aux bacheliers qui vous apprendra à exercer cette profession.

Comment gérer efficacement les stocks et approvisionnements ?

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De nombreuses entreprises éprouvent le plus souvent des difficultés pour bien s’occuper de leurs stocks. Or, une gestion de stock efficace contribue à la survie d’une société, car cette opération occupe une place importante dans les finances. Cependant, ce travail n’est pas facile à effectuer, particulièrement lorsqu’on doit sélectionner la technique la mieux adaptée. Découvrez les différentes méthodes pour une bonne gestion des stocks et approvisionnements.

Les solutions pour une bonne gestion de stock et d’approvisionnement

La gestion des stocks désigne toutes les dispositions prises par une entreprise pour ajuster en même temps les dates de commandes et les quantités commandées pour les produits indispensables à l’activité, notamment les produits vendus finis ou matières premières. La gestion de l’approvisionnement consiste à combler les besoins de la société en biens ou en services depuis les matières brutes jusqu’à la livraison du produit final au client. Ces deux éléments sont incontournables pour la pérennité d’une entreprise et certaines entités ne savent pas comment les mettre en œuvre. Voici quelques méthodes recommandées par une société logistique Expedi pour bien gérer les stocks et approvisionnements.

·         Acheter de nouveaux produits lors de la commande

 

Cette stratégie est complexe, mais facile à appliquer. Elle consiste à commander des volumes changeants à n’importe quelle date. Selon les sociétés logistiques, cette technique est parfaite pour les entreprises de BTP. Elle est aussi conseillée pour une entreprise qui a besoin de produits onéreux et/ou rare, qui ne sont pas utilisés à temps réguliers.

  • La stratégie du point de commande du point de commande

Cette technique consiste à acheter des quantités précises à des dates changeantes. Une fois que le stock critique est atteint, on commande de nouveaux produits, dont le volume est déjà fixe et ne change pas. Cependant, une fois qu’on atteint ce seuil, il faut s’assurer que les produits restants peuvent assurer les besoins jusqu’à la livraison des nouvelles commandes. Si, non, il faut augmenter le seuil critique. Vous pouvez contacter une société logistique pour une parfaite maitrise de cette méthode.

  • Le réapprovisionnement du calendrier

Cette technique rigoureuse consiste pour l’entité à commander des produits en quantité précise et a une date fixe. On l’applique le plus souvent en cas de contrat entre l’entreprise acheteuse et le fournisseur, ce contrat programme des périodes de de livraison précises pour les mois ou l’année prochaine. Cette stratégie est recommandée aux entreprises dotées d’une grande réputation et adaptée aux produits vendus, transformés ou consommés fréquemment.

  • Le recomplètement

Cette méthode est, selon les sociétés logistiques, parfaite pour des marchandises qui coutent chères et /ou se dégradent très rapidement, qui sont commercialisées ou utilisées fréquemment. Cette technique consiste, à chaque achat, à vérifier la quantité de produits restante et commander le volume indispensable pour atteindre la quantité d’articles fixée à la base.

6 avantages de l’apprentissage dans le secteur du bâtiment !

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L’industrie du bâtiment est l’un des secteurs les plus importants de l’économie française. Ces dernières années, ce domaine n’a cessé d’évoluer, boosté par les nouvelles mesures gouvernementales, notamment sur le crédit immobilier. Ceci a favorisé l’intérêt de bon nombre d’investisseurs pour ce secteur. Si vous êtes en quête d’une formation après votre bac ou pour une reconversion professionnelle, l’industrie du bâtiment peut être un bon choix. Découvrez dans cet article les raisons de suivre un apprentissage dans ce secteur.

Un domaine qui recrute

L’industrie du bâtiment fait partie des secteurs qui recrutent le plus en France. En effet, chaque année, on enregistre en moyenne 80000 recrutements. Autrement dit, les perspectives de recrutement sont assez élevées. Vous avez donc peu de chance d’être au chômage une fois votre diplôme obtenu. Aussi, il est important de préciser que tous les profils sont privilégiés lors des recrutements. Que vous soyez détenteur d’un certificat d’aptitude professionnelle (CAP) ou d’un master, vous pouvez travailler dans l’industrie du bâtiment.

Un secteur qui promeut l’égalité des sexes

Autrefois à la charge unique de la gent masculine, le secteur du bâtiment s’ouvre de plus en plus aux femmes. Ces 10 dernières années, le taux d’employées n’a cessé de progresser. Si en 2010, il n’était que de 11,1%, il a aujourd’hui passé la barre des 12,5 %. À noter que les femmes sont présentes dans les 32 métiers du secteur. On les retrouve aussi bien à des postes de cadres, qu’à des postes d’ouvriers. L’émergence du féminin dans l’industrie du bâtiment a été favorisée par les évolutions diverses qu’a connues ce secteur, notamment l’amélioration des conditions de travail, l’automatisation des pratiques, l’utilisation de matériaux plus légers. À la fois créatives et entreprenantes, les femmes apportent un regard nouveau dans ce secteur et contribuent fortement à son avancée.

Une possibilité d’avancée de carrière rapide

Vous recherchez un secteur permettant de profiter d’une évolution rapide ? Tournez-vous vers l’industrie du bâtiment, comme par exemple dans l’univers de la menuiserie qui recrute en ce moment des apprentis menuisiers par exemple. Dans ce domaine, la progression en responsabilité peut être effective en peu de temps. En effet, au cours de votre carrière, vous aurez la chance d’intervenir sur une pluralité de projets. Cela vous permettra d’affiner vos compétences, mais surtout de gagner en expériences. De ce fait, vous obtiendrez facilement une promotion. Vous pouvez par exemple entrer dans ce secteur avec un CAP et occuper au bout de quelques années un poste de chef d’équipe ou même devenir votre propre patron. Toutefois, pour cela, vous devez disposer de quelques qualités entre motivation, dynamisme, sens de la créativité, sens de responsabilités ou encore autonomie.

Profiter d’avantages sociaux

Le gouvernement, en collaboration avec les grands acteurs du secteur du bâtiment, œuvre au quotidien pour assurer des conditions de travail favorables aux employés. Ainsi, ces derniers profitent d’importants avantages sociaux entre protection sociale améliorée, indemnités de transport, panier-repas, épargne salariale, chèques vacances, séjours dans des villages vacances, congés payés et bien d’autres.

Exercer des métiers valorisants

Les métiers du bâtiment font partie des plus valorisants. En effet, participer à la création d’un ouvrage qui dure, aménager son espace de vie dans le strict respect de l’environnement, entretenir son cadre de vie sont autant d’actions par lesquelles vous contribuez à la construction de l’avenir. Et le fait de voir ses œuvres augmente l’estime de soi.

Contribuer à la protection de la planète

Le secteur du bâtiment ne cesse d’innover avec son temps. Les professionnels de ce domaine utilisent désormais les nouvelles technologies de pointe pour proposer des logements écologiques. Ainsi donc, ce secteur contribue fortement à la préservation de l’environnement et au développement durable.

Vous êtes convaincu par ces nombreux avantages ? Alors, n’hésitez plus à vous inscrire dans une école pour suivre une formation dans l’industrie du bâtiment, notamment dans le secteur des portes et fenêtres ou la construction bois. Plus d’infos au sujet des école sur le site du gouvernement : https://www.education.gouv.fr