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Quelles sont les spécificités des métiers en jardinage ?

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Dans la pratique, l’aspect de votre jardin contribue à l’esthétique de votre décoration extérieure. Par conséquent, il est indispensable de prendre soin de vos végétations et d’assurer leur entretien, afin d’éviter entre autres la pousse des mauvaises herbes. Autrement, il est important de noter que les métiers et les travaux de jardinage ne se limitent pas seulement à mettre en terre les plantes. Ils requièrent également la maitrise des indispensables dans ce domaine, pour espérer obtenir de merveilleux résultats. A savoir, un style harmonieux ou encore des espèces luxuriantes pour rehausser votre écrin de verdure.

Les différents métiers en jardinage

Avant de faire appel à un jardinier, il est nécessaire de prendre connaissance de la liste de métiers dans ce domaine.

  • Le fleuriste désigne la personne qui cultive des fleurs ou celle qui les vend. Mais, sous d’autres perspectives, pratiquer cette occupation ne consiste pas uniquement à maîtriser la culture de ces espèces. Pour ce faire, il est également essentiel de connaitre les procédés qui s’imposent afin d’assurer leur entretien. Ainsi, les compétences de cet artisan ne se résument pas à ses connaissances des différents types de végétation.

 

  • Un horticulteur s’occupe à la fois de la culture et des travaux de jardinage. En général, il s’agit du spécialiste qui se charge de faire pousser des fruits et des légumes, ainsi que des plantes de décoration. De ce fait, il dispose d’une large connaissance en la matière, car chacune des espèces ne se cultive pas de la même manière.

Les meilleurs outils de jardinage

Au-delà de la maitrise des différentes façons de cultiver une espèce, il s’agit d’une opération qui demande beaucoup d’efforts. Ainsi, pour vous éviter les durs labeurs et faire d’une pierre deux coups, il est préférable de disposer des meilleurs accessoires en travaux de jardinage. Ces équipements vous faciliteront effectivement la tâche et vous permettent de mener à bien votre projet d’entretien.

Dans cette optique, n’hésitez pas à faire appel à un jardinier pour vous aider à trouver les bons outils. Un avis éclairé vous sera réellement d’une grande utilité pour raviver votre amour de la nature et transformer cette tâche ardue en activité ludique. Ce sera alors l’occasion de vous adonner à votre passion et avoir la joie de vous investir avec enthousiasme à l’entretien de votre parc.

Pour ce faire, il vous indiquera la différence entre les outils de jardinage à main, tels que :

  • les pulvérisateurs,
  • la serfouette,
  • les sécateurs,
  • les râteaux,
  • et les pelles…

et les équipements de jardinage électrique, à l’instar de :

  • la tronçonneuse,
  • les broyeurs de végétaux,
  • et les aspirateurs.

Dans la pratique, chacun de ses accessoires tient un rôle indispensable pour la réaliser les différentes étapes d’un tel chantier.

Bref, si vous avez besoin de vous faire guider dans vos démarches pour la recherche des meilleurs outils, solliciter l’expertise d’un professionnel. Faire appel à un jardinier expérimenté vous permettra effectivement de disposer de toutes les informations utiles sur les équipements dédiés dans ce domaine. Ce sera ainsi l’occasion de découvrir les diversités des différentes gammes proposées sur le marché et de connaitre leurs avantages respectifs pour optimiser vos travaux de jardinage.

Comment puis-je gérer au mieux mon projet digital en entreprise ?

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Du fait de la prédominante croissance d’internet, les entreprises du 21e siècle sont comme prises dans une course à la digitalisation. Tout est donc numérisé, depuis les simples processus d’entreprise jusqu’à la gestion des projets de grande envergure. Si vous débutez dans le monde de la gestion de projet digital, sachez qu’elle requiert la maitrise de certains outils informatiques et de quelques notions basiques en gestion de projet que nous exposons dans ce billet.

Le projet digital pour les novices

Un projet digital désigne l’ensemble des opérations liées au marketing digital et au web marketing. Il a pour objectif de transformer une entreprise sur le plan numérique afin de lui permettre de posséder une identité personnelle et d’accroître sa notoriété sur le net. Résultat ? Attraction et conversion d’internautes, fidélisation de clients, développement d’activités…

Pour être mené à bien, le projet digital doit être dirigé par un chef de projet digital. Celui-ci doit être motivé et ambitieux pour la réussite des tâches à lui confiées. Mais, ces qualités ne sont pas suffisantes à elles seules ; il faut aussi s’entourer de professionnels du métier comme l’agence web https://www.seo-consultings.com/ qui pourra mettre son expérience à votre service.

Réalisation d’un projet digital tel qu’un site web

Étant donné qu’une bonne organisation est le catalyseur de réussite de tout projet, il importe que vos projets digitaux suivent une organisation prédéfinie dont les étapes dépendent principalement de l’ampleur dudit projet. En voici toutefois quelques-unes qui se retrouvent généralement dans l’exécution de tout projet digital.

La rédaction du cahier des charges

Cette étape est primordiale pour le projet. Pour rédiger un bon cahier des charges, il vous faut avoir une stratégie marketing, une ligne éditoriale, une connaissance de la concurrence sur le marché, une idée bien définie du contenu de votre site et enfin un bookmark de sites modèles. Savamment joints, ces paramètres vous permettront de peaufiner les stratégies qui vous aideront à atteindre le but de votre projet.

Le wireframe

Le wireframe est l’étape de pré-définition de la maquette de votre site. Pour le réaliser, il vous faudra certains outils tels que les logos, un menu, un call-to-action et tout outil qui permet de rendre le site attrayant.

Wire Frame

La réalisation de la maquette

À présent que votre wireframe est prêt, passez à la réalisation proprement dite de la maquette. Pour cette étape, vous aurez besoin d’un graphiste professionnel qui devra travailler en accord avec vos attentes. Attention à ne pas bâcler cette étape : la réalisation de certaines pages comme la page de maintenance et celle des mentions légales est à ne pas oublier.

Les autres étapes…

Plusieurs autres étapes sont à suivre dans l’élaboration d’un projet digital : l’intégration, le développement, la recette interne, la recette client et finalement la mise en ligne de votre projet. Vous comprenez ainsi que l’élaboration d’un projet digital est une activité à ne pas prendre à la légère et à ne pas effectuer à la hâte. Il faudra ainsi prendre le temps d’amorcer son exécution en dressant les tenants et les aboutissants qui affèrent particulièrement au projet en cours.

 

Ce qu’il faut absolument savoir sur le métier de façadier

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Le façadier est un professionnel en travaux du bâtiment. Il s’occupe principalement des travaux de façades, à soir leur construction, leur rénovation et leur restauration. Il peut également intervenir dans le cadre de la réalisation des travaux de finition extérieure. Cet artisan peut en effet se charger de la pose du revêtement des murs. Toutefois, le métier de façadier ne s’improvise pas. Pour pouvoir l’exercer, il faut suivre une formation au préalable. Nous allons justement évoquer les points à savoir absolument sur le métier de cet artisan.

Quelle formation/étude suivre pour devenir façadier professionnel ?

Pour devenir un expert en ravalement de façade à l’exemple de cet artisan façadier dans le Cher sur ce site, il faut être au moins titulaire d’un CAP maçon, d’un CAP plâtrier-plaquiste ou d’un CAP applicateur de revêtements. La formation dure deux ans et elle commence après la classe de 3ème. À l’issue de celle-ci, l’apprenti peut soit travailler au sein d’une entreprise de BTP soit continuer ses études en vue de l’obtention d’un Bac pro aménagement et finition du bâtiment ou d’un BTS (Bac+2).

Il faut savoir que les façadiers en activité peuvent suivre une formation continue pour se spécialiser et pour évoluer dans sa carrière. En effet, il y a certaines entreprises du bâtiment proposent des Certificats de qualification professionnelle ou CQP. En l’occurrence, on peut citer le CQP enduiseur façadier ou le CQP façadier itéiste.

Quelles sont les qualités requises pour être un bon façadier ?

Le façadier doit disposer d’une bonne connaissance des matériaux, des matériels et des différentes méthodes de ravalement de façade. Comme il s’occupe de la mise en beauté des murs extérieurs de la maison, il devra également avoir un gout de l’esthétique et une grande habileté. D’ailleurs, il ne peut exercer sa fonction en cas d’intempéries. En effet, la pluie et la neige ne feront que ruiner son travail. Cet artisan devra alors s’armer d’une grande patience, car il devra attendre qu’il fasse beau pour travailler.

En outre, le façadier devra être robuste et avoir une bonne condition physique. Il est souvent appelé à soulever des matériaux lourds au cours de ses différentes interventions. En outre, il effectue principalement les travaux en extérieur et debout.

Enfin, il doit être en mesure de répondre aux exigences de son client. Le travail qu’il réalise devra être fidèle à sa demande. Le façadier peut par conséquent lui offrir de meilleures garanties quant à la solidité de son ouvrage. En tant que professionnel du bâtiment, il devra d’ailleurs souscrire à une assurance responsabilité civile professionnelle (RCO PRO) et à la garantie décennale. Un bon sens du relationnel est également requis puisque ce professionnel collaborera avec différentes catégories de personnes (clients, fournisseur, architecte, etc.).

Qu’en est-il de l’évolution de la carrière de cet artisan ?

Après ses études, le façadier peut intégrer une entreprise de BTP ou travailler pour son propre compte. Au début de sa carrière, il sera rémunéré au SMIG et touchera donc un salaire de 1 500 € par mois. Avec de l’expérience, il peut monter en grade. Grâce à ses spécialisations, il peut en effet occuper le poste de technicien spécialisé, de chef d’équipe ou de chef de chantier. Il peut également choisir de monter son propre bureau d’étude et par conséquent devenir entrepreneur.

Le soutien scolaire pour optimiser la réussite d’un lycéen

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Le suivi des parents et le soutien scolaire sont deux facteurs qui concourent favorablement à la réussite d’un lycéen.

À ce propos, la question que vous devez vous poser est : comment puis-je aider mon enfant à passer ses trois années de lycée dans les meilleures conditions ?

Sachez au préalable que la réponse la plus adaptée est « un accompagnement sur mesure » qui permettra de déceler :

  • Ses lacunes
  • Ses points forts
  • Sa performance

Ceci étant, tous vos efforts seront vains si vous ne vous fier pas à un interlocuteur fiable.

Découvrez à travers ce guide comment vous organiser pour éviter les pertes de temps !

Comment se déroule le soutien scolaire au lycée ?

Pour comprendre le déroulement d’un soutien scolaire, il faut commencer par bien assimiler sa notion et ses principes.

Sa notion

Par définition, un soutien scolaire dispensé pendant les années de lycée est une assistance sur mesure d’un professeur donné au lycéen concerné. Ce dernier peut être :

  • Un très bon élève
  • Un élève à niveau moyen
  • Un élève qui présente des lacunes

Ses principes

L’accompagnement en question vise l’appui des programmes délivrés par l’Éducation nationale. Il doit permettre à l’apprenant d’appliquer les concepts de base et spécifiques. Mais avant cela, il doit être en mesure de les :

  • Connaître
  • Assimiler
  • Maîtriser

Il faut bien savoir que celui-ci sera face à deux enjeux de taille qui sont :

  • Une augmentation importante de la charge de travail
  • Un niveau d’exigence élevé

Comment choisir le bon professeur ?

Votre attention doit se tourner sur deux côtés, celui de votre enfant et celui de l’intervenant.

Du côté de votre enfant

Vous devez être en mesure de déceler les lacunes qu’il présente. Faites-le avant même qu’il entame sa première année de lycée. Vous pouvez par exemple vous référer à son parcours au collège.

De cette manière, vous verrez concrètement quelles sont les matières qui doivent être consolidées.

Bon, moyen, insuffisant… Quel que soit le niveau de performance de celui-ci, pensez toujours à lui faire assister par un professeur compétent ! Cela le permettra de recadrer son travail et de s’améliorer continuellement.

Du côté de l’intervenant

Pensez à bien connaître :

  • Son statut

Il peut exercer en tant qu’indépendant ou en étant rattaché à une structure de soutien précise.

Les plateformes dédiées étant vraiment nombreuses sur le marché. Aussi, si vous n’avez pas encore pris votre décision à ce sujet, la solution scolaire avec le binôme est une option.

  • Les formules disponibles

La remise à niveau est la plus proposée pour permettre au lycéen en difficulté d’atteindre la moyenne requise.

 

L’apprentissage de méthodes de travail efficaces fait aussi partie des options. Il s’adresse à tous les niveaux. En général, il vise la réussite de l’adolescent durant ses années scolaires, mais surtout lorsqu’il passera ses examens.

 

En troisième lieu, il y a encore l’assistance en cas de préparation de concours ou simplement d’examens. Il peut s’agir des examens annuels, mais surtout du baccalauréat en terminal.

Pour les concours, mieux le participant est préparé, mieux il affrontera les épreuves (orales, écrites ou physiques) qui lui seront présentées.

Dans tous les cas, un accompagnement personnalisé intervient d’une manière ou d’une autre sur la psychologie de votre enfant. Plus il reçoit un enseignement adapté, plus il gagnera en confiance et s’améliorera davantage.

Votre rôle en tant que parent est de savoir où il en est et d’intervenir en fonction de ce que vous constatez. Et même si vous le faites suivre par un interlocuteur spécialisé. Prenez toujours le temps de lui prouver votre soutien et accompagnement.

Quel est l’intérêt de se former à la communication ?

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La communication est indispensable au quotidien. Elle sert aux particuliers, et elle prend une dimension considérable dans les entreprises. Pour la croissance de sa structure, il est essentiel d’établir une bonne stratégie marketing. Essentiellement, elle s’attèle à communiquer de façon optimale. Toutefois, pour faire de la communication une puissante arme, les entrepreneurs ont besoin des experts de ce secteur. Ces professionnels ont un impact considérable favorisant l’atteinte des objectifs.

Pour être compétitives et atteindre les sommets, les entreprises recherchent des personnes qualifiées capables de répondre à leurs besoins. Les résultats d’une stratégie de marketing ou de communication ne s’improvisent pas. Les personnes désireuses de travailler dans ce secteur doivent se faire former. Quel est l’intérêt d’une bonne formation en communication ?

Les avantages de se former à la communication

Si vous vous demandez pourquoi faire des études en communication, les raisons sont multiples et largement profitables. En suivant des cours de communication et de marketing dans une école ou université spécialisée, vous acquérez les compétences nécessaires pour accéder à d’excellents postes. De belles carrières professionnelles donnent souvent l’opportunité de partir en voyage à l’étranger au cours de ses missions.

Les spécialistes de la communication diplômés des bonnes écoles sont formés aux méthodes permettant d’améliorer l’image de marque d’une entreprise. Aussi, ils interviennent efficacement pour des campagnes de communication sur des produits nouveaux ou non. Ces professionnels mettent en place des stratégies optimales pour attirer et fidéliser des clients.

De plus, les métiers de la communication sont variés et facilement accessibles. Vous pourrez choisir le métier qui correspond le mieux à vos qualités et qui répond à vos aspirations. Des stages en entreprise aident à renforcer ses compétences et à trouver son orientation pour se spécialiser. Ils permettent souvent de découvrir de réelles passions.

Par ailleurs, se former à la communication permet aux apprenants d’optimiser leurs compétences techniques. Alors, ils ont de meilleures chances d’accéder à de bons emplois ou de créer une entreprise prospère dans le monde de la communication. Ces formations permettent également de rester connecté avec son monde.

Les formations en communication et les débouchés

Les débouchés d’une formation en communication sont nombreux. Il est essentiel de bien choisir son programme académique sur la base de ses attentes et ses besoins.

Formations à suivre

Différents cursus forment à la communication. Le choix de l’un ou l’autre doit se faire en fonction de son projet professionnel et ses objectifs. Parmi les cursus existants, il y a le choix entre :

  • un Bachelor communication ;
  • un BTS communication,
  • une Licence professionnelle communication ;
  • un Master communication ;
  • un MBA communication ;
  • un MSc communication ;
  • un Master spécialisé communication.

Un point positif avec la plupart de ces formations, elles peuvent se faire en alternance avec un stage en entreprise. Le choix du rythme alterné permet aux étudiants d’appliquer les notions théoriques reçues. Les stages en agence de communication offrent aussi de l’expérience indispensable pour s’insérer dans la vie professionnelle.

Débouchés

À l’issue d’une formation en marketing ou en communication, les débouchés sont nombreux et assez intéressants. Vous pourriez occuper un poste de :

  • Chargé des relations publiques ;
  • Concepteur-rédacteur ;
  • Chargé d’études média ;
  • Chef de projet ;
  • Chef de publicité.

Ce choix est bien plus large. Il contient également le chargé de produit marketing, l’attaché de presse, le directeur artistique, le responsable communication, etc.

Aperçu des spécificités du métier d’un paysagiste

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À la différence des pensées reçues, c’est une vraie affaire de professionnel d’entretenir et d’aménager un espace vert. Les travaux de jardinages et d’aménagement paysager n’exigent pas seulement une bonne connaissance des plantes. Ils nécessitent surtout du savoir-faire et un goût de l’esthétique. C’est pourquoi il est plus judicieux de faire appel à un paysagiste pour leur exécution. Toutefois, tout le monde ne peut s’improviser paysagiste. Pour pouvoir exercer ce métier, il faudra avoir une spécialisation. Justement, nous allons aborder les spécificités de ce métier.

Quels sont les types de travaux qu’un paysagiste peut effectuer ?

On confond souvent ce professionnel avec un simple jardinier. Malgré les similitudes entre ces deux corps de métiers, ils demeurent cependant distincts.

En effet, le paysagiste s’est spécialisé dans l’aménagement paysager. À ce titre, il peut prendre en charge la création des jardins des particuliers ou la conception des jardins publics. Pour cela, il est alors amené à établir des plans d’aménagements extérieurs. Ce n’est qu’après qu’il entamera la mise en œuvre du projet. C’est au cours de celle-ci qu’il déterminera l’emplacement de chaque élément qu’il a représenté dans les plans. Il s’assurera en outre que l’ensemble est bien harmonieux.

Dans le cadre de l’aménagement paysager, on peut solliciter les services de cet artisan paysagiste pour la construction des murets de jardin, pour la plantation des végétaux, pour la mise en place des luminaires d’extérieur et des bassins d’eau. Dans la majorité des cas, il se fait assister par d’autres professionnels comme les urbanistes, les ingénieurs et les architectes. A noter que ces artisans sont particulièrement utiles pour la construction ou l’entretien de sa villa luxueuse.

Cependant, cet artisan peut aussi entretenir les plantes du jardin. Il est d’ailleurs le plus à même de déterminer les traitements qui leur sont indispensables étant donné qu’il connait mieux les végétaux.

Quelle est la formation à suivre pour devenir paysagiste ?

Comme vous avez pu le constater, les compétences et les connaissances du paysagiste sont plus larges que celles d’un simple jardinier. Pour pouvoir exerce ce travail, il faut au moins être titulaire d’un Bac ou d’un Bac pro AP-aménagement paysager. À partir de là, l’apprenti pourra alors intégrer un centre de formation afin qu’il décroche un Bac +2 (BTSAP- aménagement paysager) ou une licence professionnelle en aménagement paysager (Bac+3). Grâce à ces diplômes, il peut avoir un poste de conducteur de travaux paysager, de chef d’entreprise en espace vert, de chef jardinier ou de chef de chantier espaces verts.

Il peut toutefois poursuivre ses études pour élargir ses connaissances afin d’obtenir un diplôme d’ingénieur du paysage ou de concepteur de paysage (Bac+5).

Dans tous les cas, il est à noter que la profession de paysagiste ne fait l’objet d’aucune protection. En d’autres termes, tout le monde peut prétendre qu’il dispose d’un titre de « jardinier-paysagiste » ou « d’entrepreneur-paysagiste » sans l’être réellement. En effet, il faut se spécialiser pour prétendre à ces titres. Par contre, le titre de concepteur de paysage est encadré par des règlementations strictes.

Focus sur les qualités du paysagiste et l’évolution de sa carrière

Le paysagiste est d’abord un professionnel qui dispose de larges connaissances du monde végétal. Mais cela n’est pas suffisant. Cet artisan de la nature doit avoir un sens aigu de l’esthétique et du goût. Il doit être en mesure de marier les formes et les couleurs pour réussir l’aménagement d’un espace vert.

En outre, il faut être très polyvalent dans l’exercice de ce métier. Ce dernier nécessite en effet un certain niveau en travaux de maçonnerie, en travaux d’électricité et de plomberie. Le paysagiste sera également amené à collaborer avec des catégories de personnes différentes (clients, fournisseurs, architectes, etc.). Il doit de ce fait avoir un bon sens de la négociation et du relationnel.

Parlons maintenant de l’évolution de la carrière de ce professionnel. Il touchera en moyenne entre 1 500 € et 2 000 € par mois au début de sa carrière. Il peut gagner plus s’il dispose d’expérience et de qualification professionnelle. Ses revenus peuvent atteindre jusqu’à 2 000 € à 4 500 € par mois. Avec les années d’expérience, il pourra même monter sa propre affaire (un cabinet d’architecture paysager) pour être chef d’entreprise.

 

Quelles formations pour devenir manager dans la restauration ?

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La restauration est un secteur particulièrement dynamique en matière d’emploi. Parmi les postes les plus prisés, on retrouve le manager de restaurant. Ce profil nécessite de nombreuses compétences et plusieurs parcours de formation sont envisageables pour y accéder. Le point dans cet article.

Les parcours pour devenir manager de restaurant

Avant toute chose, il est nécessaire de préciser qu’il n’existe pas de formation spécifique pour devenir manager de restauration. Il est ainsi tout à fait possible de suivre un cursus allant du CAP au Bac+5 dans le domaine de la restauration, de la cuisine ou encore du commerce.

Vous avez notamment le choix entre :

  • un CAP Restaurant ou Cuisine ;
  • une mention complémentaire, comme la MC Accueil-Réception, la MC Sommellerie, la MC agent polyvalent de la restauration, etc ;
  • un bac professionnel, avec notamment le bac pro Cuisine ou Commercialisation et services en restauration ;
  • un brevet professionnel, avec le BP Arts de la cuisine ou Sommelier ;
  • un BTS Hôtellerie-restauration ;
  • une licence professionnelle hôtellerie et tourisme ;
  • un bachelor, comme le bachelor restauration, hôtellerie ou cuisine ;
  • un master, en hôtellerie, restauration ou cuisine.

Il est par ailleurs possible de suivre une formation en alternance proposée par Keyce Academy à Souillac au Thierry Marx Collège, un programme qui a été mis en place avec le soutien d’Hugues Lallemand.

Les compétences du manager en restauration

Ces diverses formations vous préparent à votre futur métier de manager de restaurant. Il est en effet nécessaire d’avoir de nombreuses compétences afin de mener à bien les différentes missions qui incombent à cette fonction.

Un manager en restauration doit ainsi savoir gérer son stress, faire preuve de flexibilité et d’adaptation. Il est également nécessaire de posséder un certain leadership afin de gérer son équipe. La maîtrise de l’anglais est par ailleurs devenue incontournable dans un contexte tourné vers l’internationalisation.

Il est possible d’exercer le métier de manager de restaurant au sein de diverses structures, comme :

  • les établissements de restauration rapide ;
  • les restaurants traditionnels, gastronomiques ou à thème ;
  • les restaurants de collectivité ;
  • les hôtels ;
  • les palaces et villa de luxe
  • l’hôtellerie mobile, comme sur les bateaux de croisière ;
  • les résidences hôtelières ;
  • etc.

 

Parrainage en ligne : se lancer avec un site internet de vêtements

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Vous  intéressant au monde de la mode féminine, vous devez proposer des offres de dernières tendances. Le succès dans ce domaine peut s’optimiser de différentes façons, notamment en misant sur le parrainage en ligne. Cette méthode se réalise en quelques étapes, entre autres la création et le développement d’un bon site internet de vêtements. C’est un outil indispensable pour rester plus compétitif sur le marché de la mode et mieux fructifier votre programme de parrainage.

Les avantages de réaliser son programme de parrainage avec un site internet

Actuellement, le parrainage en ligne devient très plébiscité pour lancer un projet marketing et commercial. Presque tous les secteurs d’activité se démarquent dans cette pratique mieux adaptée aux tendances du jour. Si vous voulez vous lancer dans le monde de la mode et réaliser un maximum de ventes de vêtements pour femmes, un site internet est la solution idéale. C’est un outil qui vous aide à booster l’engagement de vos clients dans le processus d’achat de vos produits et le taux de réachat fréquent.

De plus, grâce à l’efficacité de votre site internet de vêtements, vous pouvez mettre en œuvre un programme de parrainage client. Il vous est également possible de profiter de deux principaux avantages, comme la fidélisation de votre actuelle clientèle et l’acquisition de nouvelles clientes. Pour avoir un aperçu de la technique allant dans ce sens, vous pouvez vous inspirer de l’utilisation du code parrainage shein.

Choisir un bon programme de parrainage

Propice à la réalisation de bénéfices, la mode féminine est un excellent secteur pour rentabiliser votre programme de parrainage en ligne. Il existe plus de chances que vos clientes reviennent vers vous pour réacheter de nouveaux vêtements. Vous pouvez profiter de cet engagement de vos clientes pour leur attribuer des récompenses. D’où l’importance de mettre en œuvre une stratégie de parrainage à travers laquelle vous allez proposer une réduction lors de leur prochain achat. Satisfaites de cette offre, les récompensées vont parler de vous à leurs proches et amies.

Si de nouvelles clientes décident de se rendre sur votre site internet, il est plus judicieux de leur proposer une offre de bienvenue. Cette technique vous permettra de les inciter à terminer leur commande par l’achat. Une réduction de prix sur leur premier achat fera l’affaire pour les fidéliser.

Se démarquer dans le parrainage permanent grâce à son site internet

Vous pouvez vous servir astucieusement de votre site internet de vêtements pour femmes pour mettre en œuvre une stratégie de parrainage permanent. Il s’agit pourtant d’une démarche plus complexe réclamant votre savoir-faire en commerce. Vous devez notamment faire en sorte que le processus ne soit pas contreproductif.

Ce qui vous renvoie à choisir soigneusement vos clients « parrains ». Vous devez le faire en fonction de l’historique, de la fréquence et des montants de leurs achats. Il faut aussi limiter le nombre de filleuls à attribuer à chaque parrain. Le but de cette démarche est de proposer des récompenses n’ayant pas un impact conséquent sur votre marge commerciale.

Devenir prestataire VTC : quelle structure juridique?

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Pour commencer une activité de chauffeur ou de prestataire de service VTC, il est avant tout indispensable de choisir la structure juridique adéquate. La législation en vigueur n’impose pas de statut particulier et laisse tout un chacun libre de choisir entre créer une société ou une entreprise individuelle. Créer une entreprise permet alors à un chauffeur VTC d’être régulier par rapport à la réglementation applicable en matière de VTC. Il disposera d’un numéro d’identification et d’un statut juridique lui conférant de nombreux droits et lui imposant certaines obligations.

Les avantages d’une entreprise individuelle

Il s’agit de la meilleure alternative lorsqu’on ne dispose que d’une seule voiture et peu de fond de départ. Les formalités à accomplir sont simples. Il suffit d’une déclaration auprès de l’administration compétente. Les autoentrepreneurs qui ne dépassent pas un chiffre d’affaires annuel de 70 000 euros profiteront d’une réduction d’impôt (impôt sur le revenu et TVA). Certaines exemptions sont d’ailleurs possibles. Au-delà de ce seuil, le régime normal s’applique. La facilité de comptabilité est aussi un des avantages de ce statut juridique. Pour apprendre à gérer de type d’entreprise, mieux vaut néanmoins suivre une formation VTC en bonne et due forme. L’inconvénient de l’entreprise individuelle réside dans la confusion entre son patrimoine et celui de son propriétaire. En cas de faillite, ce dernier est responsable personnellement et de manière illimitée des dettes engendrées par l’activité.

L’intérêt d’opter pour le statut de société

Créer une société commerciale signifie créer une personne morale qui va donc gérer l’activité de VTC. Elle possède son propre patrimoine et son propre régime fiscal. Il n’y a pas de confusion entre ses bénéfices et les revenus des associés qui sont d’ailleurs taxés séparément. Il est possible de choisir dans ce cas entre plusieurs formes juridiques. Mais en général les prestataires VTC optent pour la SARLU ou l’EURL. Celle-ci dispose d’un capital social, constitué par l’apport versé par l’associé unique. Ce dernier n’a ainsi qu’une responsabilité limitée envers les créanciers de la société. En dehors des sociétés unipersonnelles, d’autres alternatives sont envisageables comme les SARL (sociétés à responsabilité limitée), nécessitant l’apport de plusieurs associés. Il existe aussi des sociétés de personnes comme les SNC (Sociétés en Nom Collectif) qui peuvent être fondées avec 0 euro de capital social.

Mais pourquoi adopter une structure juridique ?

On ne peut exercer légalement le métier de prestataire ou de chauffeur VTC sans disposer d’une licence VTC. Celle-ci ne peut être obtenue que si le demandeur remplit un certain nombre de conditions. Au dossier de la demande de licence, il doit donc joindre son assurance RC professionnelle, sa carte VTC, sa carte grise (ou plutôt du ou des véhicules qu’il utilise). Mais la pièce la plus importante reste l’extrait K-bis de son entreprise VTC. Or celui-ci n’est accordé qu’après l’immatriculation au registre des commerces et des sociétés. Cette formalité se fait indépendamment de la demande de carte de VTC. En outre, la création d’une entreprise est aussi une obligation indirectement imposée par l’administration fiscale.

Antiquaire ou brocanteur, quelles sont les différences entre ces deux métiers ?

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En raison des similitudes qui existent entre leurs activités, nous confondons souvent un antiquaire avec un brocanteur. Pourtant, il s’agit de deux métiers qui sont totalement différents. Dans quels cas faire appel au premier ? Et quand faut-il s’adresser au second ? Dans cet article, nous allons aborder les différences entre ces deux métiers. Découvrez !

Que faut-il savoir sur les activités d’un brocanteur ?

Il arrive souvent que l’on confonde ces deux artisans. Pourtant, les activités qu’ils exercent ne sont pas de même nature.

En effet, le brocanteur est un commerçant comme les autres. Sa marchandise se compose d’objets en tout genre. Il les acquiert soit pour les vendre, soit pour les troquer. Dans le cadre de son activité, le brocanteur cherche à tirer un minimum de profit des objets de seconde main.

Comme son nom l’indique, il tient un magasin que l’on appelle « brocante ». Le métier de brocanteur est d’ailleurs accessible à tous, car aucune formation n’est à suivre pour son exercice.

En outre, il est rare de trouver des objets de valeur dans les brocantes. L’activité des brocanteurs se focalise surtout sur la commercialisation des objets de faible et de valeur moyenne. La plupart du temps, les antiquaires se lancent dans ces activités avant leur départ en retraite. C’est là un moyen d’écouler leurs stocks et de préserver le commerce.

Que faut-il savoir sur le travail de l’antiquaire ?

À la différence du brocanteur, cet antiquaire en Marne par exemple, œuvre surtout dans la collection et la vente d’objets anciens. Ce passionné de l’histoire de l’art et du commerce est constamment en quête de la perle rare. D’ailleurs, ses clients sont généralement des amateurs d’art. Comme vous pouvez le comprendre, on trouve donc des objets qui ont plus de valeur dans une boutique d’antiquité. Pour fixer leur prix, l’antiquaire se base sur quelques paramètres, en l’occurrence leur ancienneté, leur rareté et leur valeur artistique.

Le brocanteur revend les objets tels qu’ils sont. Quant à l’antiquaire, il les remet en état et les restaure avant de les exposer dans son magasin. Pour la restauration des pièces, il peut se faire aider par un ébéniste ou un doreur. Pour vérifier l’authenticité de celles-ci, il requiert de temps à autre les services d’un expert de la culture.

Enfin, l’antiquaire fait beaucoup de déplacements. En général, il participe aux expositions, aux vide-greniers. Il peut même se rendre dans les salles de vente pour dénicher des pièces uniques. Ainsi, ce professionnel doit être doté de certaines qualités. Il doit avoir une grande passion pour les objets de l’antiquité. D’ailleurs, disposer de bonnes connaissances en histoire de l’art est un atout. Avant d’exercer cette fonction, l’antiquaire se spécialise auprès des centres de formation. Il dispose aussi d’une curiosité aiguë et d’un bon sens relationnel.

Brocanteur et antiquaire : comment travaillent-ils ?

Pour vendre ses objets d’occasion, le brocanteur se rend principalement dans les brocantes, les marchés aux puces et les vide-greniers. L’antiquaire lui dispose de son propre magasin. Il peut néanmoins visiter ces lieux dans le but de mettre la main sur des objets de valeur.

Par ailleurs, l’activité du brocanteur se concentre principalement sur la vente des objets en l’état. Comme il s’agit de pièces peu onéreuses, le profit qu’il tire de leur vente est moindre. En revanche, l’antiquaire ne met jamais en vente des objets endommagés. Pour faire ressortir leur valeur, il prend la peine de les restaurer. Par conséquent, on trouve dans sa boutique des objets rares et d’une grande valeur.